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Solutions à la hausse du prix de l’essence
Boycotter les pétrolières, pourquoi pas, du moins là où c’est possible et surtout là où il existe des transports qu’ils soient collectifs ou en commun. Ailleurs, où les dites compagnies ou leurs sous traitants sont les seuls implantés, il n’y pas d’autres solutions que de passer par elles et croyez-moi le marché est très bien encadré.
Tellement bien encadré que le système des retraites par capitalisation intègre dans son portefeuille une moyenne de 12% de l’industrie pétrolière sans compter les compagnies connexes. Certes, comme on peut l’entendre ou le voir sur tous les média, il suffirait de changer de véhicule pour en acheter un moins énergivore, comme il en existe partout ailleurs sur la planète comme en Europe depuis 1973, après le deuxième coup des pétrolières.
Et curieusement, ces types de véhicules peu gourmands en énergie sont depuis des lustres interdits d’importation en Amérique du Nord. Et nous savons tous que cette solution est loin d’être à la portée de toutes les bourses québécoises.
Alors, dès aujourd’hui, il faut cesser d’appuyer sur le champignon et quelque soit le modèle ne jamais dépasser les 2500 tours minute; avoir des pneus bien gonflés, circuler tant que possible les vitres fermées et surtout ne pas laisser tourner son moteur lorsque l’on va à l’épicerie, à la poste où tout autre lieu. Ou mieux encore, aller à pied lorsque les distances ou la santé le permettent.
En résumé il n’y a que trois solutions: le geste individuel ci-dessus qui consiste à consommer moins, même quelques décilitres aux 100 kilomètres ; une action collective à l’échelle de la planète pour remettre les producteurs et surtout les spéculateurs sur le chemin de la sauvegarde du développement socio-économique donc de l’avenir de notre petite boule encore bleue; abandonner les individualités et les nationalismes dans les milieux de la recherche pour créer un pôle international de recherche et développement sur les énergies nouvelles comme il en existe dans d’autres domaines comme ITER, le CERN et tant d’autres afin d’accélérer la mise en œuvre de toutes technologies figées sur les paillasses de labos depuis trop longtemps.
Ce n’est pas un rêve, car nous qui disposons de la démocratie pour faire avancer nos idées, c’est à nous et nous seuls de fédérer nos efforts pour diffuser nos convictions et les faire valoir auprès de nos représentants politiques partout dans le monde où c’est encore possible... Ce n’est pas une question de finances mais une question de volonté et d’entregent politique.
Alors agissons tous ensemble. Rien n’est impossible pour ceux qui n’ont qu’un objectif: l’avenir!
Gérard Declerck
Lambton
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