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Lettre aux anciens dirigeants
Quand j’aperçois ce semblant de rue Frontenac, j’ai le cafard. Oui, j’ai le cafard lorsque je vois les édifices des rues principales dans d’autres villes. Elles me rappellent ce qui fut avant la destruction de ma rue Frontenac. On a tout rasé ou presque. On a bafoué nos sentiments d’appartenance à cette ville qui est toujours la mienne.
A-t-on vendu notre centre-ville aux plus offrants banalisant notre attachement et nos traditions? Que reste-t-il de concret? Des clôtures, des tas de pierres, de sable sur lesquels on semble vouloir ressusciter un nouveau centre-ville qui n’aura jamais le même impact.
Nous, au fil du temps, avons renoncé à nous battre contre cette grosse machine qu’est l’argent. Je ne crois pas que l’on peut se rebâtir nos vies sur des ruines. La valeur d’une vie ne se mesure pas par un montant d’argent espérant compenser la perte d’un être cher, de nos racines, de nos souvenirs. Il est difficile pour moi d’accepter l’inacceptable.
Diane Clusiault
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