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GSP rencontre les travailleurs chez Royer à Lac-Drolet
Aux dernières heures avant de ranger leurs équipements et d’entrer officiellement en vacances, les 120 employés du manufacturier Royer à Lac-Drolet ont reçu la visite, vendredi dernier, de Georges St-Pierre. Une première pour le porte-parole de la marque au Canada et maintenant aux États-Unis. Et un plaisir amplement partagé!
«Je suis vraiment content d’être ici. C’est comme une famille. On travaille ensemble. J’étais curieux de voir comment les bottes étaient faites», a-t-il confié à l’Écho. L’athlète québécois le plus populaire de la planète dans le domaine des arts martiaux mixtes a ainsi célébré ses deux ans d’une alliance marketing gagnante scellée avec Royer. Récemment, en renouvelant son contrat pour les deux prochaines années, le combattant a ajouté les États-Unis à son territoire de représentation qui se limitait au Canada.
«On a fait plusieurs événements ensemble avec nos clients à l’extérieur de la région, soulignait le président-directeur général, Yves Royer. Aujourd’hui, c’est un peu comme l’arroseur arrosé. Avec Georges, on lui disait qu’il venait surprendre les employés. En réalité, ce sont les employés qui l’ont surpris en l’accueillant à l’usine, ce matin. Quand il est entré, tout le monde était là pour l’applaudir.»
Avec son statut de quasi rock star en Asie, où «les enfants grandissent en faisant du karaté (il est ceinture noire 3e dan) et du judo», GSP utilise son vedettariat pour vanter les chaussures de travail Royer uniquement sur le territoire nord-américain, où jouer au hockey et au baseball sont davantage imprégnés dans la culture populaire.
Après une visite de toutes les opérations de fabrication des chaussures, il s’est dit impressionné et heureux de «faire affaire avec Royer, une compagnie de chez nous!»
L’homme s’est prêté avec beaucoup de courtoisie aux séances photos avec les employés et la signature d’autographes. «On l’a fait pour nos travailleurs, en reconnaissance de tout ce qu’ils font à tous les jours pour l’entreprise, pour fabriquer un produit de qualité. Des bottes de sécurité pour protéger les travailleurs!», a insisté le pdg.
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