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Pont de la Solidarité: travaux correctifs en 2019
Le pont de la Solidarité fera l'objet travaux correctifs, dont la nature reste à déterminer. Sablage, bourchardage ou application d'acrylique font partie des solutions envisagées.
En vertu d’un règlement à l’amiable signé le 10 octobre entre les parties en cause, la Ville de Lac-Mégantic a conservé une retenue contractuelle de 71 204,06 $, qui permettra de réaliser les travaux correctifs rendus nécessaires à la suite de l’écaillement constaté sur les couronnes de béton préfabriqué de la structure du Pont de Solidarité, quelques mois seulement après sa construction.
Le document de quittance et transaction faisant l’objet de ladite entente entre la Ville, le Groupe Hexagone, Bétons préfabriqués du Lac et Pricewaterhousecoopers a été obtenu par l’Écho en vertu de la Loi d’accès à l’information. Les parties se sont engagées dans des discussions de règlement et ont convenu de régler à l’amiable l’ensemble des questions en litige les opposant.
Le 3 février 2014, la Ville octroyait au groupe Hexagone le contrat de construction du pont de la Solidarité, réalisé au coût de 3,3 M$ et inauguré le 15 octobre 2014. Dans le cadre de l’exécution des travaux, Hexagone avait retenu les services de l’entreprise Bétons préfabriqués du Lac (BPDL) pour la fourniture et l’installation des éléments de béton préfabriqué.
C’est au printemps 2015 qu’une inspection de la structure révélait la présence d’un écaillement sur les couronnes de béton préfabriqué. Le 2 février 2016, Hexagone se plaçait sous la protection de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies et Pricewaterhousecoopers (PWC) était nommé à titre de contrôleur d’Hexagone le 3 mars. Ont suivi des réclamations de part et d’autre avant d’en arriver à l’entente à l’amiable. Ainsi, la Ville de Lac-Mégantic, le groupe Hexagone, BPDL et PWC ont convenu de la quittance et transaction le 10 octobre dernier, «sans aucune admission de responsabilité, conclue dans le seul et unique but d’éviter les frais additionnels d’un litige contesté et d’acheter la paix», peut-on lire dans le document juridique de la cour supérieure (chambre commerciale), qui fait l’objet d’une entente de confidentialité entre les parties.
Le montant de 71 204,06$ conservé par la Ville devrait, en principe, couvrir le coût des travaux correctifs, dont la réalisation est prévue pour 2019. Les possibilités à l’étude; sabler le béton, faire du bouchardage ou appliquer de l’acrylique. L’ingénieur en chef de la Ville soumettra ses recommandations aux membres du conseil, qui devraient rendre leur décision au cours des prochains mois. Une dernière inspection sera par ailleurs réalisée au printemps afin de confirmer si l’effritement s’est stabilisé ou non.
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