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Projet Isis: pour le mieux-être des femmes défavorisées

Quelques donatrices et représentantes du comité responsable du projet Femmes Isis : Karine Lemay (Soupapes de la Bonne Humeur), Marika Chenard (esthéticienne), Sylvie Bilodeau (massothérapeute), Claudia Stoll (coordonnatrice du projet et donatrice), Nicole Lavoie (massothérapeute), Nathalie Lemay (Maison de la famille) et Emmanuelle Durocher (Centre des femmes).
Claudia Stoll a mis en branle une grande idée. Celle d’initier une action de solidarité à l’endroit des femmes défavorisées de la région granitoise. Parce que les soins du corps ont aussi des répercussions positives sur l’âme et l’esprit, elle fait appel à divers spécialistes en la matière, désireux de donner de leur temps pour contribuer au mieux-être d’une clientèle qui en a grand besoin. Déjà une vingtaine de donateurs ont répondu présents au projet Femmes Isis.
Avec ce projet, Claudia Stoll souhaite que ces femmes vivent des moments de joie et de beauté. «Il est important de prendre soin de soi et de sa santé globale, prendre du temps pour se sentir bien dans sa peau. N’ayant pas les ressources financières, certaines femmes ne peuvent se permettre un soin pour leur mieux-être, qu’elles considèrent comme un luxe. J’aimerais les aider à bénéficier de ce cadeau.»
Pour sa part, Claudia s’engage à consacrer une heure de traitement de shiatsu à une même femme chaque mois pendant un an. «Cela permet d’offrir une continuité, permettant un changement plus profond et plus durable.» Déjà 20 personnes ont accepté de fournir un don équivalent, dans des domaines aussi variés que la massothérapie, l’ostéopathie, la coiffure, l’esthétique, la physiothérapie et la réflexologie. Séance photo et atelier d’art figurent également sur la liste.
Cette initiative compte sur l’apport du Centre des femmes. «Claudia nous a approchées et nous avons décidé de l’aider», transmet Emmanuelle Durocher, coordonnatrice du Centre, rappelant que les femmes sont encore aujourd’hui plus pauvres que les hommes. «Elles gagnent en moyenne un peu plus de 70% de leur salaire, sont plus nombreuses à occuper des emplois précaires et à temps partiel, n’ont souvent pas d’assurance pour voir des spécialistes à l’extérieur du système public, où les services sont gratuits mais de moins en moins accessibles. D’autant plus que le public ne couvre pas certaines zones, comme la massothérapie.»
Un comité a été créé pour la mise en place du projet, composé de La Maison de la famille du Granit, l’Ensoleillée, la Bouée régionale, les Soupapes de la Bonne Humeur, Intro-Travail et Geneviève Laflamme. Les spécialistes désireux de consacrer une heure de leur horaire par mois au projet (tout autre don étant également accepté) sont invités à contacter Claudia Stoll au 819 657-1124, 819 583-3538 ou via le courriel claudia@physiator.com. «On vous incite fortement à signifier votre intérêt avant le 12 novembre pour permettre de démarrer le projet. Par contre, vous pouvez le faire toute l’année», termine la coordonnatrice du projet Femmes Isis.
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