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Un Microtel de 72 chambres au centre-ville

La mairesse Julie Morin en compagnie du promoteur Mathieu Mault. (Photo Pierre Lebeau)
Si tout se déroule comme prévu, un hôtel de 70 ou 72 chambres dressé sur trois étages et implanté sur la rue Frontenac, à l’angle Thibodeau, ..
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Quelle intelligence! Quel extraordinaire vision du développement économique local! Quel sens inouï de la planification stratégique concernant l'implantation d'un nouveau cœur au centre d'une ville qui ne s'en remet toujours pas de s'en remettre. La tragédie du 6 juillet 2013 a provoqué plein de problèmes dont, dans l'empressement et l'urgence de la reconstruction, la confusion dans le développement d'un espace où tout est à refaire, en y pensant avant et non après. On transplante un salon de beauté sur le plus beau terrain disponible pour un hôtel attrayant puis on place cet hôtel sur un terrain où on pouvait construire n'importe quoi, y compris un salon de beauté.
Je l'avais écrit dans un commentaire antérieur; si on met un salon de beauté sur le plus beau terrain du centre-ville, où érigera-t-on les hôtels, les terrasses de bar et de restaurants? Dans le centre-ville, là où on devra crier pour s'entendre et où on devra rester alertes pour éviter qu'une voiture passe à quelques pouces de notre table et où, en s'étirant le bras, le passager du véhicule qui nous frôle pourra aisément saisir une ou deux de nos consommations? Quand allons-nous réaliser que notre plus bel attrait touristique, notre beau lac, doit être entouré d'espaces accessibles aux touristes et à nous-mêmes?